Cybersexe à rebondissements cruels

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il y a 10 ans

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Nadia referma, ou plutôt claqua du talon, derrière elle la porte de son appartement ; le verrou se referma automatiquement. Elle enfila ses orteils droits derrière son espadrille gauche et libéra son talon ; une secousse projeta la chaussure dans un coin ; l'espadrille droite la rejoignit bientôt, tandis que, pieds nus, Nadia quittait le vestibule pour entrer dans sa chambre à coucher. Elle ouvrit son sac à main, en tira une petite boîte en carton coloré et la lança sur le lit où le reste de son contenu se vida. Toujours aussi nerveuse, la jeune fille se rendit à la cuisine, se versa un grand verre de jus de fruit qu'elle emporta au salon. Là, elle s'assit en tailleurs sur son canapé pour le siroter tout en déballant son dernier achat.

De la main gauche, elle tira sur la liquette qui lui tenait lieu de T-shirt pour la sortir de son short blanc et la secoua pour faire entrer de l'air frais contre son torse en nage. De la boîte sans marque d'identification glissa un CD-Rom rose métallisé et une notice portant sur la couverture la photo d'une femme à demi-nue dotée de formes sculpturales. Nadia feuilleta le document en avalant goulûment son jus de fruit.

Elle reposa le verre vide et, toujours en sueur, fit passer sa liquette par dessus sa tête et la jeta sur le sol. Tout en continuant à parcourir la notice, elle se mit à agacer la pointe de ses seins désormais nus. Et soudain elle se redressa. On était vendredi soir ; elle avait tout le week-end pour se délasser de cette rude semaine... et son nouvel achat allait l'y aider.

Il fallait qu'elle soit en forme la semaine suivante si elle voulait pouvoir faire preuve de son efficacité au yeux du patron et ainsi supplanter sa supérieure directe, l'exigeante Miss Trial. Elle n'était que depuis deux semaines à ce poste, mais déjà elle avait réussi à en remontrer à cette vieille fille - à 30 ans elle était toujours seule – laide comme un poux et toujours mal habillée et sentait que son patron allait bientôt lui confier de plus grandes responsabilités.

Mais trêve de préoccupations ; elle avait hâte d'essayer cette nouvelle banque de données. Elle se rendit donc dans sa chambre et retira le drap qui protégeait son SX-530. C'était le tout dernier modèle de sa catégorie : socle antivibration, cardan extra-large et à grande vitesse de rotation et surtout, grande nouveauté de ce modèle, les simulateurs de pressions pneumatiques avaient été remplacés par des milliers de petites aiguilles mobiles et thermiques - les pièzopalpeurs - qui offraient une plus grande précision et subtilité dans les sensations.

Nadia brancha l'appareil. Il y eut une seconde de grattement, puis le scaphandre tourna à l'horizontale pour se recalibrer exactement à la verticale, jambes légèrement écartées, bras le long du corps ; les portes arrière s'ouvrirent, révélant les milliers de piézopalpeurs et les rétrosenseurs qui les garnissaient. Nadia contrôla du regard que la prise télécom était correctement branchée et introduisit son CD-Rom dans la platine. Tout était prêt...

Elle retira son short, son slip et tous ses bijoux et se retrouva entièrement nue. Elle posa alors le pied gauche dans la partie correspondante du scaphandre. Elle sentit les piézopalpeurs s'adapter à son pied, lui donnant l'impression de marcher dans un épais tapis. S'accrochant avec les mains aux épaules du scaphandre elle se souleva pour placer son pied droit dans la jambière droite. Elle appuya alors ses genoux contre le fond, avança précautionneusement le bassin jusqu'à ce que son ventre butât contre les piézos. Elle baissa alors les bras et positionna son torse dans le scaphandre, plaçant ses seins dans les deux coupoles prévues à cet effet, richement garnies en aiguillettes. Elle plaça ses bras dans leur logement et finalement appliqua sa tête contre le casque du scaphandre. Dès que son visage se fut appuyé contre les piézopalpeurs faciaux, elle entendit un bourdonnement et sentit le scaphandre se refermer sur son corps...

Les écrans stéréoscopiques s'allumèrent, elle sentit tous les piézos et les rétrosenseurs bouger et s'initialiser dans une position neutre qui lui donna l'impression d'être complètement nue, debout sur une surface lisse et chaude.

Devant ses yeux, dans le décor flamboyant de bienvenue, flottaient des lettres bleutées qui disaient : "A quel service voulez-vous vous connecter?" et en dessous se déroulait la liste des adresses SX connues, tandis que celle qu'elle avait utilisée la dernière fois apparaissait en rouge. Elle tendit le bras et aussitôt, répondant aux rétrosenseurs activés, les moteurs de son scaphandre suivirent son mouvement. Elle vit une main électronique accomplir le même mouvement et appuya sur l'adresse en rouge et aussitôt l'écran devint noir.

Son corps se plaça automatiquement à l'horizontale et elle fonça, virtuellement, dans une sorte de tube bleuté et vrillé qui simulait le parcours de l'information dans les fibres optiques. Ce parcours pouvait être plus ou moins long suivant le temps que mettait la connexion à s'établir. Mais la sensation était agréable - un peu comme une plongée vertigineuse dans une eau tiède à peine turbulente - , de sorte que l'attente était facile à supporter.

Elle pouvait tourner la tête et regarder de tous les côtés ; elle dépassait des étoiles, des planètes, des nébuleuses colorées. En penchant la tête, elle pouvait voir son corps nu métallisé et standardisé ; un faisceau de lumière scintillante jaillissait de son sexe et semblait la propulser comme un réacteur ; une douce chaleur flamboyante propagée par les piézos pubiques échauffait l'intérieur de ses cuisses, rendant l'effet d'autant plus réel...

Au bout de quelques secondes, le tunnel s'élargit, une clarté éblouissante inonda la voyageuse virtuelle. Son corps se remit debout et elle se trouva dans une salle circulaire familière. Une douce chaleur régnait, un tapis moelleux enveloppait ses pieds nus jusqu'aux chevilles, une musique douce baignait cette ambiance tamisée. Elle avait toujours son corps d'androïde, nu, mais son entrejambe et ses seins étaient complètement lisses, comme si elle avait été enveloppée dans une couche plastique qui voilait toutes les aspérités de son corps.

D'autres androïdes, chauves, asexués hormis la forme générale du corps, se trouvaient là, apparaissant soudainement, disparaissant ou se déplaçant autour d'elle. Trois portes donnaient sur la salle ; au-dessus de chacune d'elle flamboyait une enseigne colorée :

VESTIAIRE= =MESSAGES= =NOUVEAUX VENUS =

En habituée, Nadia se dirigea directement sur le vestiaire. A peine entrée, elle se retrouva dans une cabine spacieuse comportant un grand miroir - ou plutôt un écran, car il permettait de contempler son image sous tous les angles, de face comme de dos - et un clavier de contrôle.

Elle allait pouvoir enfin essayer son nouveau CD-Rom. Elle appuya une touche et aussitôt un menu apparu sur le côté gauche de l'écran, tandis qu'à côté, elle pouvait voir sa nouvelle image, comme dans un miroir. La nouveauté de cette panoplie était de pouvoir régler à volonté les mensurations de son nouveau corps, avec, en outre, une garde-robe bien plus variée que celle fournie par le serveur. Elle s'amusa un moment à créer des personnages ridicules pour tester les possibilités de son nouvel achat, puis elle se plongea dans la création de son nouveau corps.

D'abord, elle se fit des cheveux roux, légèrement bouclés, tombant jusqu'à ses chevilles et des yeux verts. Elle s'allongea jusqu'à une taille de 180 cm, se raffermit les seins et se les grossit. Elle essaya diverses formes pour s'arrêter finalement sur le modèle obus de canon avec des aréoles foncées et de longs mamelons. Elle se fit un corps musclé, des jambes longues et lisses. Elle s'étrécit la taille comme si elle portait un corset, mais se fit des hanches et des fesses bien pleines. Elle choisit un sexe complètement épilé. Finalement, elle sélectionna une teinture pour les ongles de ses pieds et de ses mains.

Elle s'admira sous toutes les coutures, prenant diverses poses pour juger de l'effet de ses choix, changea encore quelques détails de-ci de-là... elle était parfaite!

Elle appuya sur une touche pour enregistrer ses choix et ne pas avoir à les resélectionner lors d'une prochaine visite. Alors, appuyant sur autre touche, elle se mit à sélectionner ses vêtements.

Des milliers de modèles existaient, tous à sa taille et dans les coloris de son choix. Elle opta pour une robe moulante, bleu-nuit brillante, fortement décolletée en un V qui descendait presque jusqu'au pubis, dévoilant sérieusement la base de ses seins nus. A partir des hanches, elle s'évasait en un frou-frou qui ne descendait pas plus bas que mi-cuisses. Elle hésita longuement avant de se décider à porter un slip en dentelles presque transparent, rouge vif. Enfin, elle chaussa des talons-aiguilles noirs qui mettaient en valeur ses longes jambes musclées. Quant à sa longue chevelure de feu, elle décida de la laisser flotter librement.

Elle enregistra également cette tenue pour ses prochaines visites. Elle se choisit encore un nom : Diana. Elle était maintenant prête. Après un dernier regard à son image, elle quitta la cabine par la porte marquée < CHOIX DU PARTENAIRE >.

Elle se retrouva dans une vaste salle couverte de piédestaux sur lesquels se tenaient des gens qui semblaient marcher sur place, bouger. Devant elle se trouvait un piédestal sur lequel se trouvait sa propre image, suivant tous ses mouvements, mais restant sur place ; sur le socle était inscrit son nom à côté d'un poussoir à pied. Chaque socle était conçu pareillement et chaque personnage correspondait à un abonné connecté avec lequel elle pouvait, en appuyant sur le poussoir, communiquer, s'il le désirait.

Elle se mit à parcourir la salle, observant avec soin les personnages sous toutes les coutures. Elle avait choisi de ne voir que les hommes, mais il y avait quand même une cinquantaine de piédestaux. Elle avait sélectionné un classement aléatoire, bien qu'elle eût pu les arranger par taille, couleur de peau, de cheveux, etc., mais elle préférait se balader au hasard pour faire son choix. De temps en temps, un nouveau personnage apparaissait ou alors un autre disparaissait, en route pour la salle de plaisir...

Soudain un homme se matérialisa devant elle - il avait actionné le poussoir de son socle. Elle le jaugea du regard. Mais ce n'était pas son style et il était manifestement doté du corps standard du serveur. Elle avait acheté une nouvelle panoplie et voulait l'utiliser avec un homme doté de caractéristiques spéciales.

Elle portait au poignet gauche - comme tous les autres utilisateurs - un bracelet-télécommande invisible pour les autres. Elle appuya sur un bouton et aussitôt le solliciteur disparut ; devant ses yeux à lui s'était dressé un cylindre noir autour de Diana. Il ne pouvait plus communiquer avec elle et, avec un juron, s'en détourna.

Nadia continua sa recherche. Il y en avait vraiment pour tous les goûts : grands, petits, costauds, frêles, classiques, barbares, loufoques... Au moyen de sa télécommande, elle pouvait faire disparaître les socles qui ne lui plaisaient pas du tout, afin de ne garder que ceux entre lesquels elle ferait son choix. Elle avisa un grand type noiraud drapé dans une sorte de toge bleu foncé qui dévoilait ses puissants pectoraux. Il était pieds nus. Son nom était Caïus

Elle appuya sur son poussoir et aussitôt il se tourna vers elle et la contempla.

  • Salut! Ma belle! Je crois qu'on est fait pour s'entendre...

Nadia lui rendit son salut et aussitôt ils se mirent à discuter du genre d'environnement qu'ils souhaitaient se donner pour leurs ébats. Apparemment ils cherchaient la même chose, car ils tombèrent assez rapidement d'accord. Nadia allait conclure lorsqu'un homme apparut dans son dos. Il avait appuyé sur son poussoir. Elle pouvait le voir, mais Caïus non ; de même, le nouveau venu ne pouvait voir le noiraud.

  • Je vous salue, ravissante Diana, dit-il en faisant une révérence. Je m'appelle Plexus et je suis à votre service.

Nadia l'observa attentivement. Il était vêtu d'un habit très original, aux couleurs changeantes, il semblait flotter au-dessus du sol, ses cheveux étaient bleu-pourpre. A n'en pas douter, c'était un programmeur. Eux seuls pouvaient se donner une telle apparence. Nadia s'en réjouit. Elle avait toujours entendu dire que les programmeurs étaient de fameux coups, car il se faisaient des programmes personnels très très coquins.

  • Je viens avec toi Plexus, dit-elle après une courte hésitation.

Et sur ces mots, elle se coupa de Caïus, qui jura de frustration.

  • Tu es un programmeur? demanda-t-elle.

  • Eh oui! et si tu veux, je peux te montrer quelques-unes unes de mes créations...

  • C'est d'accord, je te suis.

Ils pianotèrent tous deux sur leur télécommande pour établir une liaison entre eux et aussitôt la salle de choix disparut pour céder la place à un décor de nuages et d'arc-en-ciel ondoyant. Nadia sentait autour de ses mollets une tiède douceur ouatée, car elle se tenait debout sur un nuage. Devant elle se tenait Plexus.

  • Prête pour l'action? dit-il. Je t'ouvre tous mes accès.

Et il pianota à nouveau sur son poignet.

C'était le moment crucial. Nadia ouvrit également ses accès à son partenaire. A partir de maintenant, elle pouvait le toucher et lui de même avec elle. Mais à tout moment, elle pouvait rompre la liaison, simplement en agissant sur sa télécommande de poignet.

  • Et maintenant, je vais te montrer mes petits programmes, dit-il en pianotant sur son poignet gauche.

Nadia retint inconsciemment son souffle dans l'attente de ce qui allait se passer. Elle avait toujours rêvé de rencontrer un programmeur...

Et tout à coup le paysage autour d'elle se mit à changer et se mua en une terrifiante salle de supplice suintante d'humidité, éclairée par la lueur rougeoyante d'une torche.

  • Mais qu'est-ce que...

Effrayée, Nadia porta aussitôt sa main à son poignet pour se déconnecter... mais la télécommande avait disparu! Elle était bloquée! Elle releva la tête et sursauta de surprise. Ce n'était plus Plexus qui se tenait devant elle, mais une femme magnifique, aux longs cheveux bleutés, vêtue d'une sorte de corset de cuir noir prolongé par une bande lui passant entre les jambes. Elle était pieds nus et ses longs ongles étaient teints en noirs, semblables à des griffes. Son dos était nu, mais zébré par les lanières noires qui serraient son corset. Deux pointes de métal doré prolongeaient les mamelons de ses seins et une rangée de petits clous dorés ornait son entrejambes.

II.Erreur 101
  • Qu'est-ce que ça veut dire? Vous n'êtes pas Plexus? Pourquoi n'ai-je plus accès à ma télécommande?

La femme partit d'un éclat de rire glaçant qui se répercuta à longuement entre les parois cyclopéennes de cette salle infernale.

  • Petite sotte! Te rends-tu compte de la bêtise de ta question? Suis-je Plexus? Ne le suis-je pas? Mais qui est Plexus, au fond?

  • Mais...

  • Tais-toi! Je ne t'ai pas autorisée à parler! Pour répondre à ta première question, disons que Plexus est le nom sous lequel je me suis présentée à toi, mais tu trouveras peut-être plus cohérent avec ce que tu vois de désormais m'appeler Sadia. Après tout, ton nom est-il bien Diana? N'est-ce pas plutôt Nadia?

  • Co... comment...?

  • Silence! Je ne le répéterai pas!

Son regard était si menaçant que Nadia se sentit toute craintive devant elle. Ses mollets se mirent à frémir, sans qu'elle pût savoir si c'était un tremblement réel ou induit.

  • Pas très habile de ta part de choisir un pseudo aussi simple à deviner... Il ne m'a fallut que quelques milliers d'itération pour te découvrir... Je n'aurais pas imaginé que ce serait aussi simple. J'ai été plus imaginative que toi : qui pourrait imaginer que Sadia cache le nom de Miss Trial?

  • M... Miss Triaaaaaaaaaaah!

Un arc électrique venait de jaillir de l'index de Plexus-Sadia pour se relier au mamelon droite de Nadia, qu'elle avait à dessein fait pointer sous le tissu moulant de sa robe. La douleur fut aussi soudaine que brutale ; durant quelques secondes, l'arc bleuté clignota aléatoirement entre le sein gauche et le sein droit en même temps qu'une odeur de chair brûlée remarquablement bien synthétisée lui montait aux narines. Nadia essaya d'englober ses mamelles dans ses mains pour les protéger, mais les lois de la physique n'avaient plus cours dans ce monde virtuel et cette protection ne provoqua que des exclamations moqueuses de la part de sa sadique. Lorsqu'enfin la longue étincelle crépitante s'arrêta, Nadia s'effondra haletante sur le sol, la poitrine encore douloureuse.

  • J'espère que cette petite démonstration t'aura servi de leçon! ricana Sadia en essayant de son pied nu de déplier la position en chien-de-fusil que Diana avait automatiquement prise. Tu comprends maintenant que tu es en mon pouvoir... que j'ai tout le week-end pour te convaincre de ne plus essayer de me supplanter au bureau. Moi seule ai le pouvoir de décider quand tu pourras te déconnecter... et si tu regardes autour de toi, tu verras que j'ai à ma disposition toute la panoplie nécessaire pour mener à bien ce projet.

Tout en parlant, elle se promenait dans la sinistre pièce en balayant du geste ses instruments aux formes obscurément inquiétantes. Diana se remettait peu à peu de sa douleur. Elle n'arrivait pas imaginer le corps un peu bouffi de Miss Trial sous la silhouette sculpturale de cette Sadia. Quelle sale garce frustrée! En tous cas, elle semblait trop occupée à vanter ses aptitudes de programmeuse pour faire attention à elle. C'était peut-être sa seule chance de s'échapper de cette prison virtuelle.

Elle se ramassa sur elle-même et attendit que Sadia lui tournât le dos pour se jeter sur elle, la ceinturer à la taille et la plaquer au sol. En un rien de temps, elle se retrouva assise sur les reins de sa supérieure, lui immobilisant le bras doit en une habile clef de bras.

  • Désolée Trial! Tu as beau avoir l'air d'une vamp, tu restes la programmeuse avachie aux cheveux gras. Prends exemple sur moi : j'entretiens mon corps, je fais du sport, je suis des cours d'autodéfense.

Elle pouvait sentir entre ses cuisses le corps flasque de Trial. C'est marrant comme ces piézos révèlent finalement malgré tout la vraie nature de leur utilisateur.

  • Maintenant Trial, tu vas me faire sortir d'ici, sinon je te jure que je vais te déboîter le bras de l'épaule!

  • Tu es vraiment plus bête que je le croyais, Nadia! se moqua Miss Trial

Piquée au vif, Diana f o r ç a sur la clef de bras pour mettre sa menace à exécution. Mais à sa grande surprise, le bras de captive sembla se bloquer au-delà d'une certaine position. Elle se souvint alors qu'elle avait dû, lors de la première utilisation de son SX-530, l'initialiser en lui donnant les positions extrêmes de ses membres, de façon à ce que les moteurs du scaphandre ne puisse jamais les dépasser ; c'était sans doute ce qui l'empêchait maintenant de réaliser sa menace.

Soudain, elle sentit le corps entre ses cuisses se raffermir pour prendre une consistance beaucoup plus conforme au corps de Sadia. Celle-ci se redressa sur les genoux, soulevant apparemment sans efforts son adversaire. D'un coup de reins, elle la désarçonna. Il y eut alors une courte lutte durant laquelle Diana se sentit complètement surpassée par une puissance dix fois supérieure. Elle se retrouva finalement sur le dos, les biceps écrasés sous les genoux de sa Sadia, tandis que les pointes qui ornaient l’entrejambe de son corset noir se plantaient dans son sternum.

  • Tu vois? Entre mes mains tu n'es qu'un fétus de paille. Je contrôle ton système moteur aussi bien que le moindre de tes piézos.

Sadia se remit debout, dégageant le corps de sa prisonnière. Nadia voulut se remettre debout mais constata avec angoisse que son scaphandre ne répondait plus : elle était totalement paralysée dans cette coque de titane et de silicium.

  • Je peux te faire faire tout ce que je veux... continuait Sadia.

Et Nadia sentit ses membres se mettre en mouvement de leur propre chef. Ses jambes se replièrent, ses hauts-talons s'appuyèrent sur le sol sous ses fesses, elle souleva son bassin. Elle luttait de toute sa vitalité pour résister, mais les puissants moteurs de son scaphandre étaient bien trop fort pour elle.

  • Ma chère Nadia... Je t'ai laissé le contrôle des muscles de ton visage. J'adore voir la terreur et l'angoisse se peindre sur le visage de mes victimes.

Diana écarta largement les cuisses et les frou-frou de sa robe glissèrent en direction de ses hanches, mettant à jour le slip rouge en dentelle. Elle rougit de honte et son visage se crispa dans l'effort qu'elle faisait pour lutter contre elle-même. Ses bras décollèrent du sol ; ses mains empoignèrent le décolleté en V de sa robe moulante et l'écartèrent de part et d'autre de ses seins en obus, les dévoilant ainsi totalement au regard moqueur de Sadia.

  • On aime les gros seins à ce que je vois...

  • Salope! Arrête! Relâche-moi tout de suite!

  • Mais ma chérie ! Tu divagues? Je ne te tiens même pas!

Tandis que sa main gauche restait au niveau de ses seins pour les palper délicatement et en caresser les mamelons, la main droite de Diana glissa jusqu'à son entrejambes. Elle tira sur le slip rouge en fit aisément sauter les élastiques ; le sous-vêtement s'évanouit alors dans le cyberespace. Elle fit remonter sa robe sur ses hanches, dévoilant complètement sa vulve totalement glabre ainsi que se fesses musclées se balançant à 40 cm du sol.

Ses doigts se faufilèrent dans son sexe pour remonter au petit bouton rose qui pointait timidement sous son capuchon de chair. Puis, sans plus la moindre pudeur, Diana se mit à se masturber de la manières la plus éhontée et la plus sauvage qu'il fût possible.

  • Non! Salope! Arrête! Je ne veux pas! Hurlait-elle de manière assez incongrue. Tu n'as pas... le droit! Oh... non! Arr... arrête! Noooooooon! Ooooooooh! Non non non non non! Aaaaaah! Oui! Non!

Peu à peu, ses paroles se calquèrent mieux à son activité corporelle. Nadia sentait malgré elle le plaisir inonder ses sens, se répandre le long de sa peau en rayonnant du centre de son corps. Elle n'essayait plus de lutter contre son scaphandre mais se laissait aller, comme entre les bras d'un amant... sauf que l'amant c'était elle-même! Ou était-ce Sadia? Ou Trial? Ses pensées se faisaient confuses à mesure que des portions de plus en plus profondes de sa personnalité prenaient le contrôle de ses émotions.

  • Oui! Oui! Ouiiiiiii! gémissait-elle maintenant.

Et soudain, frustration suprême, tout son corps retomba comme une chiffe molle, la laissant en proie à un désir dévorant qui semblait irradier de son sexe.

  • Je te rends le contrôle de tes muscles, lui dit Sadia avec une pointe de sarcasme dans la voix.

Nadia vérifia ; c'était vrai. Salope! je vois bien ce que tu veux que je fasse, mais je ne te ferai pas ce plaisir. Son clitoris cruellement délaissé, gorgé de s a n g au point de battre au rythme affolé de son cœur, se rappela à son souvenir. Sa main partit machinalement pour satisfaire cette pulsion animale. Non! je ne dois pas! tenta de résister encore une fois Nadia. Mais son corps ne lui appartenait pas plus qu'avant, sauf que maintenant c'était la chatte lascive et impudique qui guettait au fond de son subconscient - cette entité sournoise remontant à la nuit des temps pour lui ordonner d'assouvir ses pulsions - qui était aux commandes. Alors, morte de honte, elle acheva ce qu'elle (?) avait commencé. Ses doigts reprirent leur sarabande et elle se conduisit jusqu'à la jouissance.

III.Droits d'accès

Au moment même ou le plaisir explosait dans tout son corps, une douleur viscérale lui tordit l'intérieur du sexe. Les micro-piézos vaginaux, conçus pour fournir à leur utilisateur les plus douces sensations, s'infiltraient au plus profond d'elle-même pour transformer ce qui était il y a moins d'une seconde son organe suprême de plaisir en une circonvolution spasmodique de souffrance lancinante. Les mains collées sur son mont-de-Vénus, le corps complètement recroquevillé, elle roulait sur le sol qui était soudain redevenu froid, humide et rugueux, tout en hurlant de douleur, emmêlée dans son ample chevelure rousse.

  • Qui t'a permis de jouir, sale petite pute vicieuse? l'apostropha sèchement Sadia.

Diana, sourde et aveugle de douleur nota à peine ses paroles, concentrant tout sa volonté à essayer de surpasser la douleur qui lui tordait le bas-ventre cent fois plus douloureusement que lors de ses règles les plus douloureuses. Elle fut vaguement consciente que Sadia la soulevait par les cheveux et que sons poids la f o r ç a i t à se décroqueviller. Tout en la soulevant de la main gauche, Sadia utilisait sa puissance phénoménale pour arracher ses mains à son sexe noué pour les menotter dans son dos.

Sadia eut une exclamation admirative.

  • J'adore l'aspect que donnent ses lourdes menottes à une femelle rétive!

Elle passa un mousqueton pendant du plafond dans la chaîne et se mit à actionner un treuil qui souleva la malheureuse dans les airs par ses bras enchaînés dans son dos. Heureusement, le système de limites corporelles intrinsèques (LCI) l'empêchait de souffrir de cette position tout en la rendant néanmoins très vulnérable et impuissante, ainsi pendue dans le vide. La douleur cessa brusquement ; ou plutôt la cause de la douleur, car ses muqueuses malmenées et distendues gardaient un cuisant souvenir ce cette ingression.

Sadia se dirigea alors vers une grande table et retira le drap qui cachait un objet sphérique. Une grande boule de cristal apparut, affichant le texte " C : " avec un curseur clignotant.

  • J'espère que tu apprécies le souci du détail, ma chère Diana...

Sadia se mit alors à pianoter dans le vide, ce qui donnait l'impression qu'elle se livrait à un rituel magique. Des commandes tout aussi ésotériques s'alignaient sur l'écran sphérique tandis que Trial était manifestement en train de se livrer à son activité favorite : la pénétration des systèmes. Finalement, elle se heurta à un message sans équivoque : " Access denied. Wrong password and username ".

Elle se retourna alors vers Diana et lui demanda de la voix la plus mielleuse du monde :

  • Quel est ton mot de passe?

  • Pauvre conne! Tu peux toujours te branler!

  • Non... Celui-là, je l'ai déjà essayé. Quel est ton mot de passe?

  • Va te faire foutre!

  • ça suffit! Je t'ai donné une première chance, mais là je dois te rappeler à l'ordre. Tout d'abord, tu dois me vouvoyer et puis, tu dois m'appeler Princesse! J'ai ici tout une collection d'instruments qu'il me tarde d'essayer. Alors à chaque refus, à chaque erreur, j'en ajouterai un à ton supplice présent. Et pour commencer, l'écarteleur!

Elle lui retira alors ses hauts-talons et plaça entre ses chevilles une barre qui les écarta au maximum du LCI, ce qui correspondait tout de même à un bon mètre. Ce n'était pas très douloureux, mais qu'est-ce que c'était humiliant, surtout avec la robe remontée sur les hanches! Diana frémit ; son sexe était maintenant totalement exposé, sans défense...

  • Quel est ton mot de passe?

  • Poufiasse mal baisée!

Des pinces alourdies de poids de 500 g chacun vinrent donner à ses seins-obus un meilleur profil de pénétration.

  • Quel est ton mot de passe?

  • Va te... te faire... gnnnnnh.... Enculer! grimaça Diana qui n'osait regarder ses seins grotesquement déformés.

  • Tu vois ce gode ? demanda Sadia en exhibant un monstrueux et oblong objet tout garni de pointes et d'au moins dix centimètres de diamètre. Je vais te l'enfoncer dans le con à moins que tu ne te rétractes.

  • Tu peux toujours courir! essaya de ricaner Diana, persuadée que jamais cet engin ne pourrait la pénétrer.

Quelques pénibles instants plus tard, couverte d'une sueur glacée, elle dut s'avouer qu'elle avait mal estimé sa contenance.

  • Quel est le mot de passe?

  • putelascive.

  • Décidément, tu es coriace! Ça promet bien des plaisirs pour la suite! Mais pour l'heure, je crois que je vais essayer le croche-clitoris...

  • Noooon! Noooon! Hurla Diana, hystérique. " putelascive ", c'est le mot de passe! Je te le jure!

  • Désolée, double erreur : tu m'as tutoyée et tu ne m'as pas appelée Princesse. Je vais donc devoir appliquer le croche-clito et l'étendeur.

  • Pitié! Noooon! je vous en prie Princesse!

  • Trop tard! Voici déjà le croche-clitoris, dit-elle doctement en pinçant une pince crocodile sur le clitoris tout recroquevillé de la malheureuse. " Et voici l'étendeur! "

Elle brandissait fièrement un cercle de métal garni de quatre pinces dentées placées en croix sur la circonférence. Chaque pince vint agripper un morceau de ses petites lèvres - deux pinces par nymphe - ce qui eut pour effet d'étaler complètement le sexe de Diana en une parfaite incarnation de l'as de carreau perforé en son centre par un roi de la gâchette.

  • " Pute lascive "? C'est vraiment ton mot de passe?

  • Ou..i! déglutit péniblement la pauvre Diana. En... un seul... mot...

  • Aah! " putelascive "! Voyons ça... " Access authorized "! Ouuui! Ca y est! j'y suis!

Sans prêter garde aux suppliques de sa prisonnière, Sadia se mit à pianoter dans le vide tout en marmonnant comme seule Miss Trial savait le faire lorsqu'elle se croyait seule devant son poste de travail :

  • Mmmh... Voilà! je te tiens, ma puce! mmmmh! Aaaaah! " SX-530.INI ", c'est ce que je cherchais! Voyons ça... " [LCI parameters] " Cette fois nous y sommes... Alors... Angle cuisses longitudinal... Quoi? seulement 30°? Allez! Unlimited! Angle cuisse sagittal : unlimited! Et hop! On va te faire faire le grand-écart ma jolie! Aux bras maintenant! Mmmmmmmmh! voilà! Température maximale... 100°C! Ho! Ho! Qu'est-ce que je vois? " Anal access : No access "? Héhé! " Anal access : Full control "! Ha haaaaa! ça aussi! unlimited! et là! Full control! Hin hin! Maximal setting!

Malgré ses souffrances innombrables, Diana comprenait ce qui se passait. Sadia avait tous les tics désagréables de Miss Trial, mais dans cette situations, il n'étaient plus ridicules... ils étaient horriblement grotesques et effrayants...

  • Mmmmmmh! Cette fois je crois que ça y est! Save all... " Ces paramètres peuvent causer de sérieux préjudices à l'utilisateur. La société SX décline toute responsabilité en cas d'atteinte à l'équilibre mental, à la santé ou à la vie des utilisateurs. Voulez-vous réellement enregistrer ces paramètres? " Tu parles que je veux! Ypiiiiiii!

Et soudain, le corps de Diana s'affaissa comme ses bras remontaient brusquement dans son dos, manquant lui disloquer les épaules ; simultanément, la barre écarteleuse entre ses chevilles s'allongea et l'obligea à adopter une atroce position de grand-écart. Un long hurlement accompagna cette brusque transformation.

Sadia se retourna et, le visage marqué d'un sourire cruel, elle déclara :

  • Cette fois, ma petite pute lascive, tu es toute entière à ma disposition!

  • Oui... Princesse!

IV.Polarisations incompatibles
  • Mais avant de commencer vraiment, j'ai bien droit à une petite récompense. Après tout, tu es la seule à avoir jouis jusqu'à maintenant... Ce n'est pas juste, non?

  • N...non... Princesse! bredouilla péniblement Diana.

Quelques minutes plus tard, la malheureuse se retrouvait solidement s a n g l é e sur une table de supplice, bras et jambes en croix, maintenus en place par des bandes cuir cloutées vers l'intérieur. Elle avait toujours sa robe bleu-nuit, mais avec le décolleté passé de part et d'autre de ses seins et le bas remonté sur les hanches, elle ne masquait plus grand chose et semblait même augmenter encore sa nudité.

Sadia se tenait debout au-dessus d'elle, jambes impudiquement écartées. Comme elle avait décroché la bande de cuir qui couvrait jusqu'ici son entrejambes, on pouvait voir son sexe velu, noiraud qui détonnait avec sa chevelure bleue. Elle était manifestement complètement folle de désir car les lèvres et le clitoris émergeaient de cette canopée et remuaient lentement. Nadia se dit qu'elle devait avoir un cyberscaphandre au moins aussi perfectionné que le sien pour qu'il soit capable de reproduire des détails aussi fins... Une salive trop abondante pour être naturelle dégoulinait de cet abject organe manifestement configuré pour être le plus abject et humiliant possible.

Diana n'osait penser à ce qui allait suivre et pourtant elle ne voyait aucun moyen de s'y soustraire. Toute résistance de sa part ne ferait que retarder l'inéluctable avec en prime quelque sévice qui rendrait l'épreuve encore plus difficile à supporter.

  • Je vous en prie Princesse... osa-t-elle tour de même. Je ne suis pas une lesbienne, je ne veux pas faire ça. Je vous en prie. Je vous promets que je vous obéirai en tout, même au bureau...

  • Désolée, mais je ne te demande pas ton avis.

Elle avança alors en direction de sa figure. Une goutte de l'humeur visqueuse que glairait son sexe immonde s'écrasa entre ses seins et elle ne put réprimer un frisson de dégoût. Sadia s'en aperçut et dit :

  • Quoi? La délicieuse liqueur féminine de ta Princesse te dégoûte? Tu ne devineras pourtant jamais où j'ai digitalisé son délicat parfum et sa saveur incomparable.

A ce que pouvait en juger Diana déjà à cette distance, ce devait être dans quelque arrière-cour désaffectée d'une poissonnerie maritime tibétaine...

  • Allez! Supplie-moi de t'accorder quelques gouttes de mon nectar!

  • Non, non! Je vous en prie Princesse. Pas ça!

Sadia ne répondit pas, du moins pas verbalement. En revanche son talon quitta la table pour venir se poser sur l'aréole de son sein gauche, menaçant de réduire les glande mammaires à de la bouillie lactée.

Terrifiée, sentant déjà la pression lui déformer les tissus adipeux, Diana s'empressa d'obtempérer :

  • Je vous en supplie, Princesse, faites-moi goûter de votre délicieuse liqueur féminine.

  • Voilà! Tu vois que tu y arrives! Et elle s'accroupit sur le visage de la malheureuse Diana, de manière à faire face à son corps immobilisé, plantant ses genoux dans les biceps de sa victime.

Diana sentit aussitôt l'infect liquide lui couvrir le visage et répandre son abominable odeur de putréfaction dans tous les pores de sa peau. Jamais elle ne pourrait se débarrasser de cette odeur, tant ses cellules olfactives en étaient saturées.

La suite ne fut qu'une longue noyade dans cette eau putride, rythmée par les gargouillis de Diana et les gémissements de Sadia. Son orgasme déversa un déluge visqueux sur le visage de sa prisonnière mais elle n'était même plus à même de l'apprécier tant elle était perdue dans le firmament étoilé de son plaisir assouvi.

Lorsqu'elle eut repris ses esprits, Sadia enferma sa victime dans une cage sphérique si petite que c'est à peine si elle put refermer la porte sur elle.

  • Je vais aller faire un petit somme. Attends-moi gentiment ici et tes problèmes seront réduits au strict nécessaire.

Et dans un flash multicolore, elle se déconnecta, laissant Diana seule dans son inconfortable position. Position qui était pourtant probablement bien plus enviable que le moindre des tourments qu'il lui restait à endurer au long de cet interminable week-end qui ne faisait pourtant que commencer.

V.Connexion interrompue

L'attente fut interminable... Les barreaux de la sphère incrustaient profondément leur dureté glaciale dans ses chairs comprimées. Seuls ses orteils et ses doigts pouvaient encore remuer. Combien de temps allait-elle passer ainsi? Probablement sept ou huit heures, le temps que sa inquisitrice reprenne de la vitalité...

Mais il s'avéra que les hasards d'Internet en décidèrent autrement : Nadia vit soudain le flamboiement des torches se figer, sa cage cesser d'osciller. Elle connaissait bien ces symptômes d'un problème de connexion. D'habitude, elle les redoutait, mais cette fois elle ressentit soudain un immense espoir l'envahir : si le problème se prolongeait plus d'une minute, la session s'interromprait automatiquement et elle échapperait ainsi aux griffes de sa collègue. Pourvu que le problème dure suffisamment longtemps.

En fait, elle n'eut même pas besoin d'attendre les soixante fatidiques secondes. Le programme planta, tout devint noir autour d'elle avant de revenir au flamboyant environnement de démarrage où un écran lui demandait si elle voulait reprendre la connexion interrompue ; elle sentit les piézos épouser étroitement sa peau, prêts à s'adapter à ses moindres mouvements. Elle était libre! Du moins, lorsque ses muscles engourdis cesseraient de la faire souffrir...

Elle se releva péniblement ; chaque mouvement lui arrachait un gémissement. Elle appuya finalement sur le bouton quitter qui flottait dans l'air devant elle et sentit avec bonheur le scaphandre commencer à s'ouvrir dans son dos.

Tout alla alors très vite : ses coudes furent saisis à pleines mains et ses bras tirés dans son dos ; un objet métallique cliqueta sur ses poignets. Elle se sentit tirée en arrière par les cheveux et bascula sur le sol. Avant même qu'elle ait pu réaliser ce qui lui arrivait, une seconde paire de menottes avait été refermée sur ses chevilles tandis qu'une boule de culottes - provenant apparemment de son sac à linge sale - avait été enfouie dans sa bouche et maintenue au moyen d'une ceinture serrée autour de sa tête. On la retourna sur le dos et une poigne de fer lui tira la tête en arrière par les cheveux. Elle vit alors le visage un peu bouffi de Miss Trial se pencher sur elle et lui dire en ricanant méchamment :

  • Maintenant ma cocotte, ça va être pour de vrai!

FIN

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La science fiction aide bien pour ce récit que je trouve super bien écrit, l'ambiance créée vous plonge dans une bulle. Bravo car pas si facile que ça à écrire.
Du BDSM grande classe pour faire planer dans un monde virtuel pouvant rapidement devenir effrayant. Un récit super sympa, j'ai bien aimé.
Torride et planante cette histoire. On finit par ne plus savoir si c'est virtuel ou réel, bravo pour cette prouesse.
Franchement, c'est une histoire fabuleuse et, prise par l'ambiance, je me suis éclatée rapidement
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